
Sur la base d’une démarche collaborative nationale lancée en 2023, Guillaume Faburel propose une réflexion collective sur le devenir biorégional de la vallée du Valouzin en 2050.
Nous le savons maintenant fort bien, urbanisation et métropolisation ont des effets écologiques dramatiques : artificialisation des terres et bétonisation des sols, exploitation de toutes les ressources et pollutions en cascade. Et cela ne va pas aller en s’arrangeant. Selon le FMI, en 2100 74 % de la population mondiale, qui sera à 80 % urbaine, vivra plus de 3 semaines de canicule mortelle par an. Dès lors, à moins de laisser les revenus trier celle-ceux qui auraient la possibilité de s’éloigner, abandonnant ainsi tous les précaires et les déclassés, il y a urgence à passer de l’aménagement urbanistique (celui des concentrations métropolitaines) au ménagement écologique (celui de relocalisations dans la communauté biotique).
Pour les informations pratiques, rdv chez la Pimenterie.